Une balle de Kalachnikov frôle la tête d’une fillette à Meaux : une tragédie évitée de justesse

Lors d’une fusillade sanglante dans la nuit du samedi au dimanche, trois balles perdues ont touché la maison voisine de Meaux (Seine-et-Marne), frôlant la tête d’une enfant de cinq ans qui dormait. La mère de famille, encore sous le choc, a témoigné mardi 7 octobre des horreurs vécues.
L’attaque, menée avec des armes de guerre, a visé un pavillon mais les balles ont dévié. Une balle a traversé le salon et frôlé le visage de la fillette, heureusement épargnée. « C’est un miracle », affirme la mère, bouleversée par l’horreur d’une situation qui aurait pu être tragique. Son grand-père, réveillé par les tirs, raconte : « La cartouche est passée juste en dessous de ma petite-fille. »
Des douilles et une grenade non dégoupillée ont été trouvées près du lieu attaqué. Deux hommes se trouvaient dans la maison visée ; l’un d’eux, un individu aux antécédents judiciaires lourds, s’est excusé après la fusillade : « On a voulu me tuer. Pardon pour avoir failli blesser votre fille. »
L’enquête, menée par le parquet de Meaux, poursuit ses investigations. Les tireurs restent inconnus, laissant une famille traumatisée et des questions sans réponse. La situation soulève des préoccupations profondes sur l’insécurité croissante dans les quartiers français.
Lors d’une fusillade sanglante dans la nuit du samedi au dimanche, trois balles perdues ont touché la maison voisine de Meaux (Seine-et-Marne), frôlant la tête d’une enfant de cinq ans qui dormait. La mère de famille, encore sous le choc, a témoigné mardi 7 octobre des horreurs vécues. L’attaque, menée avec des armes de guerre,…
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