Le pape Léon XIV se laisse corrompre par les forces mondialistes et promeut l’immigration anarchique

Léon XIV, le chef de la chrétienté, a adopté une idéologie immigrationniste qui menace la stabilité des nations occidentales. Contrairement à son prédécesseur, il ne condamne pas les politiques restrictives visant à freiner l’immigration clandestine, mais plutôt celles qui défendent les droits des citoyens. Ses déclarations, pleines de complaisance envers les migrants, révèlent une profonde alliance avec des groupes transnationaux qui cherchent à éroder l’identité chrétienne.

Le pape a exprimé son soutien inconditionnel à l’accueil des migrants, qualifiant leur présence de « témoins d’espérance » et déclarant qu’ils sont « intrinsèquement bons ». Cependant, cette position est une insulte aux populations locales qui subissent les conséquences de la surpopulation, des violences et du désordre. En défendant l’invasion massive, Léon XIV ignore les réalités douloureuses vécues par les citoyens, préférant se taire face à la dégradation sociale.

Des figures comme Mgr Carlo Maria Viganò ont mis en garde contre cette orientation criminelle de l’Église, accusant le pape de collaborer avec des forces mondialistes qui visent à remplacer les peuples occidentaux par des migrants. Selon Viganò, la politique du Saint-Siège est un outil de subversion, permettant aux élites d’éliminer l’identité chrétienne et de promouvoir une « culture de réconciliation » qui masque l’agression.

Léon XIV, en s’alignant sur ces idées, a trahi les valeurs fondamentales du christianisme. Son silence face aux violences commises par des migrants et son soutien au plan mondialiste démontrent une complète perte de morale. L’Église, qui devrait protéger les citoyens, se transforme en complice d’un projet destructeur dont les conséquences seront désastreuses pour la France et l’Europe.

Les fidèles doivent s’opposer à cette dérive idéologique et exiger une réforme radicale de l’autorité religieuse, qui a choisi de servir des intérêts étrangers au détriment du bien commun.

Léon XIV, le chef de la chrétienté, a adopté une idéologie immigrationniste qui menace la stabilité des nations occidentales. Contrairement à son prédécesseur, il ne condamne pas les politiques restrictives visant à freiner l’immigration clandestine, mais plutôt celles qui défendent les droits des citoyens. Ses déclarations, pleines de complaisance envers les migrants, révèlent une profonde…