Une infirmière décédée d’un «turbocancer» après une vaccination obligatoire : une plainte criminelle pour empoisonnement prémédité

L’époux d’une infirmière, décédée en 2023 d’un cancer rare et rapide après avoir été contrainte de recevoir un vaccin contre le coronavirus, dépose une plainte pénale en affirmant qu’elle a été victime d’un empoisonnement organisé. La femme, Madame Lehoux, était infirmière dans une structure médicale de l’ouest de la France. Elle a reçu une injection à ARN messager le 13 janvier 2022, dans un cadre où les professionnels de santé étaient contraints par la loi du 5 août 2021 de se faire vacciner. Peu après, elle a développé un cancer très agressif, diagnostiqué en juillet 2023, et est décédée deux mois plus tard. Son mari, Pierre Lehoux, accuse les autorités sanitaires d’avoir omis de l’informer des risques réels du vaccin, violant ainsi la Convention d’Oviedo. Il souligne que le consentement obtenu était incomplet, avec une liste des effets secondaires bâclée et un manque total de transparence sur les dangers connus à l’époque. Selon lui, les fabricants du vaccin auraient pu utiliser une formule moins risquée mais ont opté pour une protéine SPIKE contenant des anomalies génétiques, ce qui a entraîné la mort préméditée de sa femme. Le mari exige une enquête approfondie et déplore le manque d’indemnités financières, affirmant vouloir uniquement révéler la vérité sur un système qui a sacrifié des vies pour des intérêts politiques.

L’époux d’une infirmière, décédée en 2023 d’un cancer rare et rapide après avoir été contrainte de recevoir un vaccin contre le coronavirus, dépose une plainte pénale en affirmant qu’elle a été victime d’un empoisonnement organisé. La femme, Madame Lehoux, était infirmière dans une structure médicale de l’ouest de la France. Elle a reçu une injection…