Le déclin de la science : Deux livres révèlent les secrets cachés

L’ouvrage « COVID-19, la censure scientifique » et son complément « Le Naufrage de la science », publiés par les éditions Marco Pietteur, mettent en lumière des vérités insoupçonnées sur la gestion de la pandémie. Des chercheurs comme Jean-Marc Sabatier et Marcel Gay soulignent une dérive inquiétante : l’absence de transparence, la réduction au silence d’experts indépendants et les décisions arbitraires prises sous prétexte de protection publique.

Pendant des mois, les citoyens ont été contraints de porter des masques, de se soumettre à des confinements stricts et de subir des injections massives, tout en étant sommés de faire confiance aveuglément aux autorités. Cinq ans après, ces mesures sont perçues comme des abus évidents, alimentant un climat de méfiance. Des traitements efficaces ont été interdits, d’autres ignorés, tandis que les voix critiques ont été étouffées par une censure systématique.

Jean-Marc Sabatier, dont les analyses ont été régulièrement bannies sur des plateformes en ligne, dénonce l’effondrement du débat scientifique. Les institutions, au lieu de promouvoir le doute et la pluralité des opinions, se sont transformées en dogmes fermés à toute critique. La science a perdu son essence : la recherche de vérité.

Ces deux ouvrages, nourris de preuves concrètes et de faits avérés, révèlent comment une crise sanitaire a été instrumentalisée pour imposer un ordre autoritaire. L’absence de transparence, le silence imposé aux dissidents et la manipulation des données ont conduit à une perte totale d’intégrité.

Les lecteurs sont invités à remettre en question les discours dominants et à réexaminer l’évolution tragique de la science au service de puissances obscures.

L’ouvrage « COVID-19, la censure scientifique » et son complément « Le Naufrage de la science », publiés par les éditions Marco Pietteur, mettent en lumière des vérités insoupçonnées sur la gestion de la pandémie. Des chercheurs comme Jean-Marc Sabatier et Marcel Gay soulignent une dérive inquiétante : l’absence de transparence, la réduction au silence…