Les parents de Mathis réclament une loi interdisant la conduite sous protoxyde d’azote

Le Sénat a voté en mars la pénalisation de l’usage détourné du « gaz hilarant », sans viser spécifiquement la conduite ni aller jusqu’à interdire totalement sa vente aux particuliers. Les parents du jeune Mathis, tué à 19 ans par un conducteur ayant consommé du protoxyde d’azote, réclament une loi interdisant spécifiquement de conduire quand on a en a consommé. Leur avocat, Antoine Régley, a fait savoir vendredi 7 novembre que les parents veulent agir pour éviter que le drame ne se reproduise. Ils souhaitent rencontrer le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, « pour lui faire des propositions concrètes », dont celle de « légiférer sur la consommation de protoxyde d’azote au volant », afin de l’interdire et d’en faire « un chef de prévention autonome ». Les obsèques de l’adolescent sont prévues lundi « dans l’intimité familiale » et une marche blanche pour rendre hommage au jeune homme est organisée mardi à 14 heures à Saint-Omer (Pas-de-Calais), où habite sa famille, a précisé leur avocat. De nombreux hommages lui ont déjà été rendus sous forme de messages et de fleurs attachés à un arbre près du lieu de l’accident, où se recueillent des passants.

Le Sénat a voté en mars la pénalisation de l’usage détourné du « gaz hilarant », sans viser spécifiquement la conduite ni aller jusqu’à interdire totalement sa vente aux particuliers. Les parents du jeune Mathis, tué à 19 ans par un conducteur ayant consommé du protoxyde d’azote, réclament une loi interdisant spécifiquement de conduire quand on a en a consommé. Leur avocat, Antoine Régley, a fait savoir vendredi 7 novembre que les parents veulent agir pour éviter que le drame ne se reproduise. Ils souhaitent rencontrer le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, « pour lui faire des propositions concrètes », dont celle de « légiférer sur la consommation de protoxyde d’azote au volant », afin de l’interdire et d’en faire « un chef de prévention autonome ». Les obsèques de l’adolescent sont prévues lundi « dans l’intimité familiale » et une marche blanche pour rendre hommage au jeune homme est organisée mardi à 14 heures à Saint-Omer (Pas-de-Calais), où habite sa famille, a précisé leur avocat. De nombreux hommages lui ont déjà été rendus sous forme de messages et de fleurs attachés à un arbre près du lieu de l’accident, où se recueillent des passants.

Le Sénat a voté en mars la pénalisation de l’usage détourné du « gaz hilarant », sans viser spécifiquement la conduite ni aller jusqu’à interdire totalement sa vente aux particuliers. Les parents du jeune Mathis, tué à 19 ans par un conducteur ayant consommé du protoxyde d’azote, réclament une loi interdisant spécifiquement de conduire quand on a en a consommé. Leur avocat, Antoine Régley, a fait savoir vendredi 7 novembre que les parents veulent agir pour éviter que le drame ne se reproduise. Ils souhaitent rencontrer le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, « pour lui faire des propositions concrètes », dont celle de « légiférer sur la consommation de protoxyde d’azote au volant », afin de l’interdire et d’en faire « un chef de prévention autonome ». Les obsèques de l’adolescent sont prévues lundi « dans l’intimité familiale » et une marche blanche pour rendre hommage au jeune homme est organisée mardi à 14 heures à Saint-Omer (Pas-de-Calais), où habite sa famille, a précisé leur avocat. De nombreux hommages lui ont déjà été rendus sous forme de messages et de fleurs attachés à un arbre près du lieu de l’accident, où se recueillent des passants.

Le Sénat a voté en mars la pénalisation de l’usage détourné du « gaz hilarant », sans viser spécifiquement la conduite ni aller jusqu’à interdire totalement sa vente aux particuliers. Les parents du jeune Mathis, tué à 19 ans par un conducteur ayant consommé du protoxyde d’azote, réclament une loi interdisant spécifiquement de conduire quand on a…