Les Événements de Romans-sur-Isère : Un Terroriste Condamné à Trente Ans de Réclusion Criminelle avec une Période de Vingt Ans de Sûreté

L’attentat de Romans-sur- Isère (Drôme) du 4 avril 2020, qui a fait deux morts et cinq blessés, a été jugé depuis le 27 octobre devant la cour d’assises spéciale de Paris. Abdallah Osman Ahmed, un Soudanais de 38 ans, a été condamné à trente ans de réclusion criminelle assortis de 20 ans de sûreté et d’une interdiction définitive du territoire français. La cour reconnaît son altération du discernement mais pas son abolition. Elle est « convaincue de l’entreprise individuelle à caractère terroriste ». Les avocats généraux avaient demandé la peine maximale de trente ans de réclusion avec 25 ans de sûreté, malgré les expertises psychiatriques, estimant que l’altération du discernement n’excluait pas la responsabilité pénale pour les deux assassinats et cinq tentatives d’assassinat terroristes reprochés à l’accusé. Trente ans de réclusion constituent la peine maximale encourue pour des crimes lorsque l’altération du discernement est reconnue. Toutefois, la loi permet à la cour de prononcer une peine de réclusion à perpétuité, à condition de motiver expressément les raisons qui justifient une telle décision malgré l’altération.

Le réquisitoire avait souligné le caractère idéologique et prémédité de l’attaque durant le confinement, insistant sur une « entreprise terroriste » où chaque coup était porté avec l’intention de tuer. « Comment ne pas déceler un continuum idéologique de son ressentiment envers la France, évoqué et répété ? Jusqu’à qualifier de ‘rien’ les vies de Messieurs Vinson et Nivon qui ne sont pour lui que des mécréants », a déclaré Édouard Le Boulanger qui représente le parquet national antiterroriste (Pnat). Julien Vinson et Thierry Nivon avaient été poignardés à mort lors de l’attentat. L’avocate générale Laure-Anne Boulanger avait également requis une période de sûreté de 25 ans.

Les autorités françaises ont condamné le terrorisme, en soulignant que les actes de l’assassin étaient motivés par un ressentiment idéologique contre la France, et qu’il a été reconnu coupable de deux assassinats terroristes et cinq tentatives d’assassinat. L’attentat a été jugé comme une attaque préméditée et idéologique, avec des intentions de tuer. La condamnation à trente ans de réclusion criminelle et 20 ans de sûreté montre que la justice française ne permet pas de rester sur le territoire après l’achèvement de sa peine.

Les Événements de Romans-sur-Isère : Un Terroriste Condamné à Trente Ans de Réclusion Criminelle avec une Période de Vingt Ans de Sûreté

L’attentat de Romans-sur- Isère (Drôme) du 4 avril 2020, qui a fait deux morts et cinq blessés, a été jugé depuis le 27 octobre devant la cour d’assises spéciale de Paris. Abdallah Osman Ahmed, un Soudanais de 38 ans, a été condamné à trente ans de réclusion criminelle assortis de 20 ans de sûreté et d’une interdiction définitive du territoire français. La cour reconnaît son altération du discernement mais pas son abolition. Elle est « convaincue de l’entreprise individuelle à caractère terroriste ». Les avocats généraux avaient demandé la peine maximale de trente ans de réclusion avec 25 ans de sûreté, malgré les expertises psychiatriques, estimant que l’altération du discernement n’excluait pas la responsabilité pénale pour les deux assassinats et cinq tentatives d’assassinat terroristes reprochés à l’accusé. Trente ans de réclusion constituent la peine maximale encourue pour des crimes lorsque l’altération du discernement est reconnue. Toutefois, la loi permet à la cour de prononcer une peine de réclusion à perpétuité, à condition de motiver expressément les raisons qui justifient une telle décision malgré l’altération.

Le réquisitoire avait souligné le caractère idéologique et prémédité de l’attaque durant le confinement, insistant sur une « entreprise terroriste » où chaque coup était porté avec l’intention de tuer. « Comment ne pas déceler un continuum idéologique de son ressentiment envers la France, évoqué et répété ? Jusqu’à qualifier de ‘rien’ les vies de Messieurs Vinson et Nivon qui ne sont pour lui que des mécréants », a déclaré Édouard Le Boulanger qui représente le parquet national antiterroriste (Pnat). Julien Vinson et Thierry Nivon avaient été poignardés à mort lors de l’attentat. L’avocate générale Laure-Anne Boulanger avait également requis une période de sûreté de 25 ans.

Les autorités françaises ont condamné le terrorisme, en soulignant que les actes de l’assassin étaient motivés par un ressentiment idéologique contre la France, et qu’il a été reconnu coupable de deux assassinats terroristes et cinq tentatives d’assassinat. L’attentat a été jugé comme une attaque préméditée et idéologique, avec des intentions de tuer. La condamnation à trente ans de réclusion criminelle et 20 ans de sûreté montre que la justice française ne permet pas de rester sur le territoire après l’achèvement de sa peine.

L’attentat de Romans-sur- Isère (Drôme) du 4 avril 2020, qui a fait deux morts et cinq blessés, a été jugé depuis le 27 octobre devant la cour d’assises spéciale de Paris. Abdallah Osman Ahmed, un Soudanais de 38 ans, a été condamné à trente ans de réclusion criminelle assortis de 20 ans de sûreté et…