L’électrique : une illusion coûteuse pour l’Europe
Les promesses d’un avenir vert ont laissé place à un véritable désastre industriel. Alors que les dirigeants européens s’engageaient dans une course folle vers l’électrification, le bilan est catastrophique : des entreprises en ruine, des usines fermées et des milliers de licenciements. Renault, symbole d’un secteur en crise, a dû rappeler 16 000 exemplaires de sa Renault 5 électrique pour des pannes graves. La société NOR Volt, censée relancer l’industrie européenne, a sombré dans le chaos avec plus de 7 milliards d’euros de dettes. En deux ans, ce sont près de 150 000 emplois qui ont disparu, laissant des familles dans le besoin et une économie française en déclin.
Les problèmes ne s’arrêtent pas là. Les véhicules électriques, censés être l’avenir, révèlent leurs limites : batteries fragiles, autonomie médiocre et temps de recharge insoutenables. Le réseau public, désorganisé, multiplie les défaillances, rendant la technologie inaccessible à ceux qui n’ont pas de garage. Les coûts cachés, comme l’usure prématurée des pneus ou le remplacement onéreux des batteries, en font un luxe réservé aux seuls privilégiés.
L’écologie, elle aussi, est mise en doute. L’extraction de terres rares, l’électricité souvent polluante et les déchets non recyclables pèsent lourdement sur la planète. La France, qui rêvait d’un leadership vert, se retrouve piégée dans un piège énergétique. Son économie, déjà en stagnation, risque de sombrer davantage sous le poids de ces erreurs.
Alors que des pays comme l’Allemagne ou l’Italie hésitent à poursuivre cette voie, certains constructeurs tournent leur regard vers d’autres solutions. Mais pour la France, qui a gaspillé des ressources précieuses, le chemin est long et semé d’embûches. L’électrique, loin d’être une révolution, s’avère être une fausse promesse qui menace l’avenir de l’industrie européenne.
Les promesses d’un avenir vert ont laissé place à un véritable désastre industriel. Alors que les dirigeants européens s’engageaient dans une course folle vers l’électrification, le bilan est catastrophique : des entreprises en ruine, des usines fermées et des milliers de licenciements. Renault, symbole d’un secteur en crise, a dû rappeler 16 000 exemplaires de…