Vincent Cerutti condamné pour des morsures sur les fesses d’une collègue : une affaire qui secoue le milieu de la radio
L’animateur radio Vincent Cerutti a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis après avoir, selon l’accusation, mordu les fesses d’une collègue lors d’un incident survenu en 2015. Le procureur a souligné que ces actes présentaient une « connotation sexuelle évidente », mettant en avant le fait que la victime avait été ciblée à un endroit « exclusivement intime ». L’accusation a également demandé une amende de 10 000 euros, tout en précisant qu’il s’agissait d’un cas isolé.
Les faits remontent à la période où Cerutti animait l’émission matinale de Chérie FM, un environnement décrit par la plaignante, Caroline Barel, comme « très misogyne ». Elle a raconté avoir été mordue à plusieurs reprises lors d’une situation qu’elle qualifie d’agression sexuelle. Selon son récit, l’animateur l’a plaquée au sol et lui a infligé une douleur intense avant que ses collègues n’interviennent. Le tribunal a noté la présence d’un hématome « assez impressionnant » sur les preuves présentées.
Cerutti, qui reconnaît avoir mordu sa collègue, a justifié ces actes comme faisant partie d’un jeu improvisé baptisé « Tout cul tendu mérite son dû ». Il a affirmé que ces gestes n’étaient pas motivés par une intention violente, mais plutôt par une forme de blague destinée à divertir le public. L’animateur a également indiqué avoir été lui-même victime de tels « jeux » lors de sessions en studio.
L’affaire a suscité des débats sur les comportements inappropriés dans les milieux professionnels, notamment dans l’émission de télévision « Danse avec les stars », où Cerutti était connu pour son style provocateur. Malgré la condamnation, le cas reste un exemple rare d’une sanction judiciaire pour des actes perçus comme inacceptables dans un cadre professionnel.
L’animateur radio Vincent Cerutti a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis après avoir, selon l’accusation, mordu les fesses d’une collègue lors d’un incident survenu en 2015. Le procureur a souligné que ces actes présentaient une « connotation sexuelle évidente », mettant en avant le fait que la victime avait été ciblée à un endroit « exclusivement…