Une femme condamnée à 1 250 euros pour des dégradations attribuées à son chat

L’histoire d’une habitante de Agde (Hérault) qui a été jugée par le tribunal de Béziers après avoir été accusée de préjudices causés par son chat, Rémi. Le verdict implique une amende de 1 250 euros, mais l’accusation s’est révélée encore plus lourde lorsqu’un voisin a exigé des dommages et intérêts supplémentaires. La femme conteste vivement les faits, affirmant que le dossier manque de preuves solides.

Les événements ont commencé en 2024, lorsque des travaux de rénovation s’achevaient chez un voisin. Le chat a été accusé d’avoir endommagé un crépi, uriné sur une couette et fait ses besoins dans le jardin. Malgré l’assurance de son assureur, la situation a conduit à un procès où elle a été condamnée en janvier 2025. Le dossier comprenait des photos montrant des chats dans le jardin du voisin, mais la propriétaire conteste ces preuves, soulignant la présence d’autres chats rouges dans le quartier.

L’enseignante dénonce également l’installation de caméras par son voisin, ce qui a provoqué une crise d’anxiété. Elle est maintenant menacée d’une nouvelle assignation en décembre, avec des dommages et intérêts potentiellement supérieurs à 2 000 euros. Le chat, enfermé pour éviter de nouvelles infractions, est devenu agressif. L’Association protectrice des animaux suit l’affaire, craignant un précédent judiciaire nuisible au bien-être des chats.

L’histoire d’une habitante de Agde (Hérault) qui a été jugée par le tribunal de Béziers après avoir été accusée de préjudices causés par son chat, Rémi. Le verdict implique une amende de 1 250 euros, mais l’accusation s’est révélée encore plus lourde lorsqu’un voisin a exigé des dommages et intérêts supplémentaires. La femme conteste vivement…