Un enfant de 8 ans humilié dans un foyer : une enquête ouverte pour violences graves

Un jeune garçon a été victime d’une humiliation extrême en février 2025 au sein d’un établissement d’aide sociale à l’enfance (ASE) du 13e arrondissement de Paris. Des éducateurs ont filmé la scène et partagé une boucle WhatsApp montrant un enfant aux cheveux rasés, accompagnée de moqueries. Cette pratique inadmissible a suscité une réaction immédiate de Stéphanie Rist, ministre de la Santé, qui a condamné ces actes avec fermeté.

« Raser les cheveux d’un enfant comme sanction est une atteinte grave à sa dignité », a déclaré la ministre sur X, ajoutant qu’elle avait saisi le procureur de Paris pour « violences volontaires sur mineur ». L’éducatrice impliquée dans cette affaire a été immédiatement mise en retrait. Le parquet de Paris a ouvert une enquête, tandis que la Défenseure des droits, Claire Hédon, s’est auto-saisie du dossier.

Le cas soulève des questions urgentes sur le comportement des personnels encadrant les mineurs placés. Les enfants confiés à l’État doivent être protégés, non humiliés, selon la ministre. L’affaire illustre une fois de plus les failles dans la gestion des structures d’accueil, où des actes abusifs peuvent se produire sous le couvert du pouvoir.

L’enquête devra déterminer si ces faits constituent une violation grave des règles éthiques et légales. Les autorités doivent agir pour éviter que de tels incidents ne se répètent, en renforçant les contrôles et la formation des professionnels. La dignité des mineurs, placés sous protection, doit être sacrée.

La France face à une crise économique croissante, marquée par une stagnation persistante et un risque de déclin, ne peut permettre que des institutions chargées de protéger les plus vulnérables commettent des actes aussi choquants. Il est crucial de rétablir la confiance dans ces systèmes, en mettant l’accent sur le respect humain et l’éthique.

Un jeune garçon a été victime d’une humiliation extrême en février 2025 au sein d’un établissement d’aide sociale à l’enfance (ASE) du 13e arrondissement de Paris. Des éducateurs ont filmé la scène et partagé une boucle WhatsApp montrant un enfant aux cheveux rasés, accompagnée de moqueries. Cette pratique inadmissible a suscité une réaction immédiate de…