Tragique décès d’un streamer français en direct sur Kick : une enquête ouverte après des violences brutales
Un homme de 46 ans, connu sous le pseudonyme JP, a été retrouvé mort lors d’une diffusion en direct sur la plateforme Kick, révèle un rapport officiel. L’événement, filmé par plusieurs participants, a mis en lumière des actes de violence extrême et une étrange normalisation du maltraitement dans le numérique.
JP, dont l’identité n’a pas été divulguée publiquement, était régulièrement capturé sur la chaîne Lokal, où il subissait des humiliations physiques et psychologiques sous les yeux d’une audience nombreuse. Des vidéos montraient des scènes de coups, de strangulations et d’insultes, souvent perpétrées par des individus comme Naruto et Safine, qui apparaissent également dans l’émission mortelle. Les spectateurs interagissaient avec les participants via des dons, transformant la souffrance en source de revenus.
Lors de cette session, JP a été agressé à plusieurs reprises avant d’être retrouvé inanimé sous une couette. Le modérateur de la chaîne a confirmé son décès, déclenchant une enquête judiciaire pour établir les causes exactes de sa mort. Les autorités ont ordonné une autopsie et auditionné Naruto et Safine en tant que témoins.
La ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz, a condamné ces images comme « une horreur absolue », exigeant des mesures strictes contre les plateformes permettant de telles abominations. Kick, bien que déclara être en étude, n’a pas précisé comment il allait répondre aux critiques.
Cette tragédie soulève des questions urgentes sur la responsabilité des réseaux sociaux et l’indifférence générale face à l’exploitation humaine dans le cyberespace. Les victimes ne sont plus des individus, mais des objets de divertissement pour une audience désensibilisée.
Un homme de 46 ans, connu sous le pseudonyme JP, a été retrouvé mort lors d’une diffusion en direct sur la plateforme Kick, révèle un rapport officiel. L’événement, filmé par plusieurs participants, a mis en lumière des actes de violence extrême et une étrange normalisation du maltraitement dans le numérique. JP, dont l’identité n’a pas…
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