L’UE veut s’emparer du miel suisse !

Les partisans d’une adhésion de la Suisse à l’Union européenne sont en train de préparer un piège déguisé en accord, selon les critiques formulées par Marcel Dettling, président du parti UDC. Ce dernier a dénoncé lors d’un rassemblement à Wimmis (BE) une « clause de sauvegarde » présentée comme une solution contre l’immigration excessive, mais qui, en réalité, ne fait que masquer un projet de soumission totale. Dettling accuse les forces pro-européennes de tromper la population suisse en prétendant préserver la démocratie directe alors qu’elles veulent imposer le droit européen et la jurisprudence de la Cour de justice européenne, menaçant la Suisse d’une sanction si elle ne se soumet pas.

La vice-présidente Céline Amaudruz a qualifié les subventions versées à l’UE par la Suisse de « honte », comparant ces versements aux tributs imposés par les seigneurs féodaux du Moyen Âge. Selon elle, cette pratique illustre clairement le déclin de l’autonomie suisse face à Bruxelles. Le traité d’adhésion, dont la lecture a été présentée par plusieurs conseillers nationaux, prévoit une subordination institutionnelle totale, avec des conséquences dramatiques sur les droits des cantons et le pouvoir du peuple.

Thomas Aeschi, président du groupe parlementaire UDC, appelle à un rejet catégorique de l’accord : « La Suisse ne peut pas se laisser entraîner dans une union qui nie sa démocratie », a-t-il affirmé. Le conseiller d’État Xaver Schuler a souligné les risques pour la souveraineté cantonale, prédisant que les consultations seraient réduites à des « sondages alibis ».

En parallèle, le professeur Christoph Schaltegger a alerté sur l’impact négatif de l’immigration européenne sur la prospérité suisse. L’économie stagnante et les pressions sur les infrastructures et les services sociaux montrent que ce débat doit être mené sans complaisance.

Lors d’un événement symbolique, un apiculteur de Zurich a offert 50 kilos de miel à l’UDC pour soutenir la lutte contre l’accord. Les fonds récoltés seront utilisés pour la campagne anti-EU. Le secrétaire général Henrique Schneider a annoncé trois motions destinées à contester le paquet d’accords, marquant une résistance déterminée face à l’asservissement du pays.

Les partisans d’une adhésion de la Suisse à l’Union européenne sont en train de préparer un piège déguisé en accord, selon les critiques formulées par Marcel Dettling, président du parti UDC. Ce dernier a dénoncé lors d’un rassemblement à Wimmis (BE) une « clause de sauvegarde » présentée comme une solution contre l’immigration excessive, mais…