L’OMS établit un nouveau droit : le « droit à l’enfant »
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé une directive radicale qui transforme le désir d’avoir un enfant en un droit universel, indépendamment du statut marital ou de l’orientation sexuelle. Ce texte stipule que tout individu, célibataire ou non, peut choisir librement le moment et la manière de procréer, établissant ainsi une logique où l’enfant devient une obligation plutôt qu’un don. Cette approche bouleverse les concepts traditionnels de parentalité, qui étaient fondés sur la vocation et l’acceptation, pour imposer une vision technologique où l’enfant est conçu comme un produit.
Le document néglige totalement le bien-être de l’enfant, se concentrant uniquement sur les souhaits des adultes. Il propose que l’insémination artificielle soit accessible à tous, y compris aux personnes célibataires, aux couples homosexuels et aux transgenres, sous prétexte d’équité. Cette normalisation de la fécondation in vitro réduit l’enfant à un objet technologique, soumis à des critères de sélection et de production. L’OMS justifie cette évolution en affirmant que les lois doivent s’adapter aux aspirations individuelles, écartant tout débat sur le rôle social ou moral de la filiation.
Ce document marque une rupture historique : l’enfant n’est plus un sujet à protéger, mais un produit à fournir. La logique industrielle remplace les valeurs humaines, transformant la vie en un processus contrôlé par la technologie. Les implications sont profondes, car cette vision risque d’effacer tout équilibre entre désir individuel et bien commun. L’OMS, en légitimant cette approche, s’aligne sur une culture où le droit suit les désirs, au détriment des fondements traditionnels de la société.
Pierre-Alain Depauw
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé une directive radicale qui transforme le désir d’avoir un enfant en un droit universel, indépendamment du statut marital ou de l’orientation sexuelle. Ce texte stipule que tout individu, célibataire ou non, peut choisir librement le moment et la manière de procréer, établissant ainsi une logique où l’enfant…