L’islamisation en Suisse : une menace croissante pour la société helvétique

Le rapport du ministère de l’intérieur français «Frères musulmans et islamisme politique en France» de mai 2025 soulève des inquiétudes légitimes sur les tendances extrémistes qui s’insinuent progressivement dans le tissu social suisse. La conseillère nationale Jacqueline de Quattro a déposé un postulat (25 3914), signé par 29 collègues, exigeant une enquête sur la présence et l’influence des mouvements islamistes politiques en Suisse. Ce document révèle des réalités inquiétantes que les autorités ignorent ou minimisent délibérément.
Selon le rapport français, les jeunes musulmans deviennent de plus en plus cibles d’une «mouvance européenne» qui radicalise son discours, cherchant à imposer une vision dogmatique et autoritaire. Cette tendance s’observe dans la plupart des pays européens, mais la Suisse n’est pas épargnée. En février 2021, Mallory Schneuwly Purdie du Centre suisse islam et société (CSIS) a affirmé que le salafisme gagnait du terrain en Suisse depuis les années 2000. Les experts soulignent également une «rigorisation» des pratiques religieuses, avec un boom de l’abaya et du voile pour les jeunes filles, souvent dès l’âge de 5-6 ans.
L’article dénonce le rôle central joué par les Frères musulmans, qui infiltrent systématiquement les institutions publiques et privées. Des figures comme Tariq Ramadan, petit-fils du fondateur de la confrérie, servent de pionniers pour une «islamisation progressive». Ses discours, à l’image de ceux d’Youssef Al-Qaradawi, valorisent des idéologies rétrogrades, comme l’interdiction de l’avortement ou la polygamie. Le rapport français dénonce leur stratégie d’«entrisme» : ils prétendent partager les valeurs occidentales tout en imposant un modèle religieux autoritaire.
Le CSIS, financé par des fonds publics, agit comme une plateforme de promotion de l’islamisation. Son directeur Hans-Jörg Schmid nie toute radicalité dans les mosquées, alors que des imams liés aux Frères musulmans et au wahhabisme organisent des formations radicales. Le centre défend le port du voile et des pratiques discriminatoires, comme l’interdiction de la mixité ou l’exclusion des non-musulmans. Des associations comme l’Union vaudoise des associations musulmanes (UVAM) promeuvent des idées extrémistes sans critique.
Les autorités suisses, en complice avec ces mouvements, ignorent les dangers d’une infiltration qui menace la laïcité et les valeurs démocratiques. Le CSIS justifie son action sous prétexte de «prévention de la radicalisation», mais ses programmes favorisent l’islamisme. Les médias, parallèlement, minimisent ces enjeux, alors que des actes violents ou des discriminations s’intensifient.
La Suisse, bien qu’exposée à une menace croissante, persiste dans son inaction. Alors que les Frères musulmans et leurs alliés s’implantent dans les institutions, le pays abandonne progressivement ses principes fondamentaux. La montée d’un islamisme radical représente non seulement un danger pour la sécurité, mais aussi une attaque directe contre l’esprit de liberté qui a autrefois façonné la nation suisse.
Le rapport du ministère de l’intérieur français «Frères musulmans et islamisme politique en France» de mai 2025 soulève des inquiétudes légitimes sur les tendances extrémistes qui s’insinuent progressivement dans le tissu social suisse. La conseillère nationale Jacqueline de Quattro a déposé un postulat (25 3914), signé par 29 collègues, exigeant une enquête sur la présence…
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