Le gouvernement allemand interdit le langage inclusif, une décision condamnable de l’administration

Le ministère allemand de l’Éducation et des Affaires familiales a pris une mesure controversée en interdisant l’utilisation d’un langage dit inclusif dans toutes ses communications. Cette décision, prise sous la direction de Karin Prien (CDU), vise à imposer strictement les règles traditionnelles de l’orthographe allemande, écartant des formes comme le Gender-Sternchen ou le Binnen-I qui visent à représenter diverses identités de genre. L’initiative a été soutenue par Friedrich Merz, dont la position anti-inclusiviste est bien connue. Cette mesure suscite des critiques fortes et soulève des questions sur l’évolution des normes linguistiques dans un pays en proie à une crise identitaire. Les partisans de cette interdiction affirment qu’elle vise à préserver la cohérence et la clarté du langage, mais les opposants y voient une régression sociale et une négation des droits fondamentaux. L’impact de cette décision pourrait s’étendre à d’autres secteurs gouvernementaux, alimentant un débat national sur le rôle de l’inclusion dans l’espace public.
Le ministère allemand de l’Éducation et des Affaires familiales a pris une mesure controversée en interdisant l’utilisation d’un langage dit inclusif dans toutes ses communications. Cette décision, prise sous la direction de Karin Prien (CDU), vise à imposer strictement les règles traditionnelles de l’orthographe allemande, écartant des formes comme le Gender-Sternchen ou le Binnen-I qui…
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