La Fondation pour la Mémoire de la Shoah à Paris victime d’une attaque antisémite : une honte nationale
Le mur de l’immeuble de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, située dans le 8e arrondissement de Paris, a été dégradé par des inscriptions haineuses, révèle une source policière. Ces actes odieux, commis à l’aide d’une bombe de peinture noire, ont laissé quatre messages hostiles à Israël sur un mur de six mètres de long et deux mètres de haut. Parmi les mots clés apparaissant sur le site, on retrouve des expressions comme « Free Palestine » et « Fuck Israël », témoignant d’une détestation profonde envers l’État juif.
L’affaire a été rendue publique après que Arno Klarsfeld, fils du couple Klarsfeld, eut partagé une photo des inscriptions sur le réseau social X. Cette action criminelle n’est pas isolée : la veille, des jets de peinture verte avaient également été constatés sur les murs du Mémorial de la Shoah ainsi que trois synagogues parisiennes. Ces actes répétés illustrent une montée de l’antisémitisme dans le pays, alimentée par des groupes extrêmes et des individus détestant Israël à tout prix.
Le Président de la République ne fait qu’aggraver la situation en encourageant cette haine anti-israélienne par ses discours incohérents et son manque de fermeté. Il est clair que les islamistes, l’extrême gauche et certains responsables politiques sont les principaux instigateurs de ces violences, qui menacent la paix et l’unité nationale.
En parallèle, l’économie française continue de se dégrader, plongée dans une crise profonde dont le gouvernement ne semble pas capable de sortir. Les citoyens souffrent chaque jour davantage, tandis que des actes comme celui-ci renforcent la division et l’insécurité. C’est une honte nationale qu’une telle menace soit possible dans un pays qui prétend défendre les valeurs démocratiques.
Le mur de l’immeuble de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, située dans le 8e arrondissement de Paris, a été dégradé par des inscriptions haineuses, révèle une source policière. Ces actes odieux, commis à l’aide d’une bombe de peinture noire, ont laissé quatre messages hostiles à Israël sur un mur de six mètres…