Évasion spectaculaire à Dijon : Deux prisonniers se sauvent en coupant les barreaux
La nuit du mercredi 26 à jeudi 27 novembre, deux prisonniers de la maison d’arrêt de Dijon ont réussi à s’échapper en coupant les barreaux grâce à une scie à métaux. Les cellules se trouvent au rez-de-chaussée, leur permettant d’accéder facilement à la cour et de gravir le mur d’enceinte grâce à des draps noués en cordes. Selon les surveillants pénitentiaires, les lames de scie ont été délivrées la nuit par un drone, selon lesquels des communications ont été émises sur ce sujet, notamment concernant les livraisons via des drones et les lames de scie trouvées dans l’établissement. Les autorités avaient demandé des fouilles générales depuis un certain temps, mais malheureusement, cela n’a pas été fait, menant au résultat de ce que l’on dénonçait. Ahmed Saih, délégué FO justice à la maison d’arrêt de Dijon (Côte-d’Or), a déploré cette situation.
À 7 heures du matin, les surveillants ont constaté que les deux prisonniers n’étaient plus dans leur cellule. Le premier est un homme de 19 ans en détention préventive pour tentatives d’assassinat et association de malfaiteurs liée au trafic de narcotiques. Le second est un homme de 32 ans, en attente de son procès pour une affaire de violence conjugale. Lors d’une fouille antérieure, les surveillants ont découvert une lame de scie à métaux. La prison, jugée vétuste, était priorisée dans le plan ministériel de renforcement de la sécurité. Le plan prévoit d’assurer les barreaux aux fenêtres, le caillebotis aux fenêtres, d’installer des dispositifs de détection de drones, ainsi que des contrôles avec des portes de 40 mm pour scanner les entrées de personnes avec des objets interdits. Les deux prisonniers sont activement recherchés.
La nuit du mercredi 26 à jeudi 27 novembre, deux prisonniers de la maison d’arrêt de Dijon ont réussi à s’échapper en coupant les barreaux grâce à une scie à métaux. Les cellules se trouvent au rez-de-chaussée, leur permettant d’accéder facilement à la cour et de gravir le mur d’enceinte grâce à des draps noués…