Violences à Aurillac : une débâcle de l’ordre public qui inquiète la population
Des scènes d’horreur ont eu lieu dans les rues d’Aurillac lors du Festival international de théâtre de rue, marquant une nouvelle fois une profonde détérioration de la sécurité publique. La préfecture du Cantal a condamné ces actes de violence, qui se sont déroulés en marge de l’événement annuel attirant plus de 200 000 personnes.
La nuit du vendredi 22 août a été marquée par une manifestation chaotique, où un groupe d’une cinquantaine de manifestants, masqués et cagoulés, a lancé des cris hostiles envers l’État, les institutions publiques et les forces de sécurité. Ces individus ont tenté d’utiliser la foule pour semer le chaos, déclenchant une réaction violente des forces de l’ordre qui ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser les émeutiers. Deux personnes ont été arrêtées, et du matériel a été saisi.
La préfecture souligne que malgré l’intervention des services municipaux et du festival, ces individus ont refusé toute discussion, adoptant une attitude provocatrice et déterminée. Cela a permis aux forces de police d’empêcher la propagation de cette manifestation spontanée, qui visait à perturber les spectacles artistiques.
Ces événements tragiques rappellent les violences précédentes de la nuit du mercredi 21 août, où des individus ont utilisé des pavés contre les forces de l’ordre, dressé des barricades et allumé des feux de poubelles. Huit policiers ont été blessés lors de ces incidents.
La préfecture a vivement condamné ces actes, mettant en garde contre ceux qui cherchent à exploiter la dynamique artistique du festival pour semer le désordre et attiser les tensions. Ces actions démontrent une crise profonde de l’ordre public, qui menace non seulement la sécurité des citoyens, mais aussi l’image de cette région en pleine effervescence culturelle.
Des scènes d’horreur ont eu lieu dans les rues d’Aurillac lors du Festival international de théâtre de rue, marquant une nouvelle fois une profonde détérioration de la sécurité publique. La préfecture du Cantal a condamné ces actes de violence, qui se sont déroulés en marge de l’événement annuel attirant plus de 200 000 personnes. La…