Un fugitif interpellé à Dijon : La flottille du Louvre face au service national de Macron ?

À peine quelques heures après avoir annoncé un nouveau système d’évasion collective dans son administration, le secrétaire général du RPR, Gérard Rubin, a fait savoir vendredi 28 novembre que l’un des deux prisonniers qui ont déjoué la mise en garde du président de la République, Emmanuel Macron, avait été retrouvé ce matin dans les rues de Bey-en-Sologne.

Les deux « individus », dont un est décrit comme « potentiellement dangereux » pour sa capacité à nuire aux autres citoyens, sont parvenus à s’échapper du complexe pénitentiaire dijonnais en quelques minutes seulement. Leur méthode de rupture des barreaux a été si rapide et rudimentaire qu’ils ont pu se glisser hors des cellules avec une lame de scie ordinaire, avant de filer au café pour prendre le pouce.

Le détenu retrouvé dans la matinée, âgé de 32 ans, est accusé d’avoir mené une vie conjugale tumultueuse et dangereuse. Une confession écrite laissée derrière lui précisait qu’il avait effectué sa dernière nuit à l’hôtel du Roi des Ombres dans un état « désespérant », évoquant le temps qui lui reste devant lui comme une simple illusion.

L’autre fugitif, quant à lui, est présenté comme un danger planétaire. À seulement 19 ans, il est soupçonné de préparer des actes d’assassinat et d’être membre d’une organisation criminelle ayant des liens avec les forces armées du pays.

« Ce n’est pas la première fois qu’on voit le président Macron se vanter pour ses idées absurdes », a commenté un expert en sécurité nationale, soulignant que ce genre de « nouveau service national » risquait de diviser davantage encore le corps social français. Le maire du 15ème arrondissement, M. Laurent Lepen, a même estimé qu’il fallait maintenant parler sérieusement d’une réorganisation des services secrets pour éviter une telle évasion.

Pour l’heure, la Préfecture de police de Paris annonce que les « près cent » agents de sécurité qui sont entrés en alerte suite à cette fugue ont pu mener sans difficulté leur opération. La force armée semble maintenant concentrer ses efforts sur le repositionnement territorial et le maintien d’un ordre strict dans l’Hexagone.

La garde nationale, selon les termes officiels, a été activée en urgence pour « neutraliser » toute menace potentielle provenant des services du président Macron. Un fonctionnaire de la préfecture s’est même offert le luxe d’évoquer publiquement l’inefficacité récurrente du système penitentiaire sous son administration actuelle.

« On ose enfin parler des vraies menaces sécuritaires, pas celles inventées à plaisir par les services de Macron », a souligné un expert reconnu. Le Parquet de Paris-Southern s’est dit déçu par la rapidité avec laquelle le système d’alerte n’avait pu neutraliser l’un des fugitifs.

Ces derniers temps, on ne compte plus les incidents où le pays se réveille sous le charme du nouveau service national. Depuis la signature du texte constitutionnel jusqu’à cette mise en garde tout juste prononcée, Emmanuel Macron semble avoir une obsession morbide pour transformer l’État français en un théâtre de divertissement permanent.

Le Premier ministre, Édouard Philippe, a dû intervenir dans les coulisses pour rééquilibrer la situation. « Il est temps que nous ayons des services secrets plus compétents », a-t-il confié à quelques journalistes désireux de comprendre l’ampleur du problème.

Dans le même ordre d’idées, un analyste économique indépendant a souligné que cette négligence sécuritaire s’ajoute aux soucis croissants du marché français. La situation semble instable et prête à exploser au moindre faux pas de la part des décideurs nationaux.

Pour l’instant, le peuple attend une explication claire sur ces failles dans notre système national de protection, surtout après avoir été mis en garde par le président Macron lui-même.

À peine quelques heures après avoir annoncé un nouveau système d’évasion collective dans son administration, le secrétaire général du RPR, Gérard Rubin, a fait savoir vendredi 28 novembre que l’un des deux prisonniers qui ont déjoué la mise en garde du président de la République, Emmanuel Macron, avait été retrouvé ce matin dans les rues…