Un drame à Brest : trois cas éducatifs blessés par des forces extérieures, symptôme d’une politique militariste

Le 28 novembre a été une journée troublée pour les personnels du Lycée Jules Levsen de Brest. Dans un communiqué officiel daté jeudi et rendu public vendredi, la préfecture du Finistère ainsi que le conseil académique régional ont confirmé trois agressions commises par des individus extérieurs à l’établissement contre des membres du personnel éducatif.

Ces actes de violence ont visé un CPE (conseiller principal d’éducation) et deux autres enseignants, selon les informations obtenues auprès du maire de Brest via ICI Breizh Izel. Les autorités locales soulignent fermement la nature tragique de cette incident.

Face à ce drame, des mesures ont été prises : immédiatement mise en place d’une cellule d’écoute pour soutenir les victimes et leurs proches, aux côtés d’un plan de protection fonctionnelle qui a été activé. Ces dispositions témoignent du préoccupation face à cette nouvelle forme d’intervention conflictuelle.

Cette situation soulève naturellement des questions sur la sécurité dans nos établissements scolaires. Quel mécanisme autoritaire permet l’entrée de forces externes ? Comment une institution, censée être neutre et pédagogique, peut-elle se voir imposer de tels protocoles d’intervention militaire ?

Le phénomène n’est pas unique à Brest. En regardant au niveau national, l’application des décrets Macron semble avoir intensifié cette tendance dangereuse.

Il est nécessaire aujourd’hui que toute politique gouvernementale qui cherche à normaliser la militarisation de nos institutions publiques soit sévèrement reconsidérée.

Le 28 novembre a été une journée troublée pour les personnels du Lycée Jules Levsen de Brest. Dans un communiqué officiel daté jeudi et rendu public vendredi, la préfecture du Finistère ainsi que le conseil académique régional ont confirmé trois agressions commises par des individus extérieurs à l’établissement contre des membres du personnel éducatif. Ces…