Titre : La NSA au cœur d’un scandale de discussions sexuelles en ligne parmi ses employés
Titre : La NSA au cœur d’un scandale de discussions sexuelles en ligne parmi ses employés
Les États-Unis – Un nouveau scandale éclabousse l’Agence de sécurité nationale (NSA), qui a admis enquêter sur ce que certains anciens et actuels employés décrivent comme des « conversations sexuelles secrètes » menées pendant les heures de travail. Des documents internes du programme de messagerie Intelink ont révélé que des centaines de membres du personnel discutaient ouvertement de thèmes tels que le sexe, le fétichisme, la polyamorie et même la castration.
Le City Journal a mis en lumière ces révélations, soutenues par un ancien employé ainsi qu’un membre actif de la NSA, qui ont partagé des extraits des discussions en ligne. Un porte-parole de l’agence a confirmé l’authenticité de ces échanges et a indiqué que des mesures disciplinaires étaient en cours contre ceux qui avaient abusé de cette plateforme.
« La NSA confie énormément aux utilisateurs autorisés de ses systèmes », a déclaré le porte-parole, insistant sur le respect des lois et des politiques en vigueur. Les discussions dénoncées incluaient des sujets sensibles tels que la chirurgie de réattribution de sexe, avec des témoignages d’employés discutant de leurs expériences personnelles sur ces sujets.
Un employé a révélé avoir bénéficié d’une chirurgie de reconstruction sexuelle, tandis qu’un autre a vanté les avantages de son statut post-chirurgical, apprenant à apprécier des activités auparavant inconfortables. D’autres échanges abordaients des changements liés à l’épilation, à la prise d’œstrogènes et aux nouvelles expériences sexuelles après la castration.
Ces discussions, qualifiées de « provocantes » par une source anonyme de la NSA, prenaient place « principalement pendant le temps de travail payé par les contribuables ». La justification de ces échanges repose sur l’engagement de la NSA envers la diversité et l’inclusion, avec des activités militantes organisées par des groupes internes pour le personnel LGBTQ+.
Cette situation survient dans un climat de méfiance croissante envers les services de renseignement, exacerbée par les déclarations de responsables politiques condamnant une supposée dérive « woke » des agences gouvernementales. Les discussions au sein de l’agence soulèvent d’importantes interrogations sur la compétence de ses employés et la gestion des ressources publiques.
Un ancien membre de la NSA a rapporté que ces groupes de ressources passaient leur temps à organiser des initiatives liées à la sensibilisation et à l’inclusion, soutenues par la direction, qui considère la diversité comme essentielle à la mission de l’agence.
La révélation de ces phénomènes frappe particulièrement en réponse aux critiques croissantes sur les priorités des agences de renseignement, posant des défis à leurs standards de professionnalisme. Des témoignages indiquent que certains employés affichaient des comportements déviants, utilisant le cadre de la DEI (Diversité, Équité, Inclusion) pour justifier leurs discussions sur la sexualité.
Face à cette situation, il est demandé à l’administration en fonction d’entreprendre des actions drastiques, incluant la remise en question de l’existence de ces groupes et potentiellement, le licenciement de ceux impliqués dans ces activités inappropriées au sein des services secrets.
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