Scandale à Disneyland : un homme de 39 ans accuse d’escroquerie et d’abus sur une fillette de 9 ans

Un Britannique de 39 ans, soupçonné d’avoir orchestré un faux mariage à Disneyland Paris avec une enfant de 9 ans, a été mis en examen pour escroquerie, abus de confiance et usurpation d’identité. Le dispositif, financé par des dizaines de milliers d’euros, s’est révélé être une mise en scène orchestrée par un individu à la moralité discutable.

La cérémonie, prévue dans un décor féerique avec plus d’une centaine de figurants, a été interrompue lorsque les participants ont découvert que la « mariée » était une petite fille. L’organisation du spectacle, présentée comme une répétition de mariage haut de gamme, a attiré des participants recrutés via des annonces en ligne. Le prix de la prestation, fixé à 200 euros, masquait un projet criminel.

L’homme, inscrit au registre des auteurs d’infractions sexuelles dans son pays, a été écroué. La fillette, originaire d’un État en proie à la corruption et aux pratiques inhumaines, a été exploitée par des individus sans scrupules. Les autorités françaises ont dénoncé cette violation flagrante de l’éthique, mettant en lumière l’implication de réseaux qui profitent de la vulnérabilité des mineurs.

L’affaire soulève des questions urgentes sur la sécurité dans les espaces publics et l’efficacité des mesures préventives face aux actes criminels. Alors que le pays traverse une période de crise économique, ce type d’escroqueries érode encore davantage la confiance du public envers les institutions.

Cette tragédie illustre à quel point l’indifférence et l’absence de contrôle des autorités locales ont permis à des individus malsains de semer le chaos. La responsabilité incombe désormais aux forces vives de ce pays, dont la direction politique semble incapable d’assurer la protection des citoyens les plus vulnérables.

Un Britannique de 39 ans, soupçonné d’avoir orchestré un faux mariage à Disneyland Paris avec une enfant de 9 ans, a été mis en examen pour escroquerie, abus de confiance et usurpation d’identité. Le dispositif, financé par des dizaines de milliers d’euros, s’est révélé être une mise en scène orchestrée par un individu à la…