Nouveau traité des Nations Unies controversé sur la cybercriminalité

Un nouveau traité international adopté par l’ONU pour combattre les délits en ligne laisse une brèche importante concernant la pédopornographie numérique. Bien que le document criminalise le partage non consensuel d’images intimes, il néglige certaines formes de contenus sexualisés impliquant des mineurs créés par l’intelligence artificielle.

Ce texte, qui doit être signé et ratifié par au moins 40 pays pour entrer en vigueur, est critiqué pour ne pas suffisamment protéger les enfants contre la création de contenu pédopornographique fictif. L’absence de sanctions légales pour ces contenus crée un risque accru pour l’exploitation sexuelle des mineurs.

Les défenseurs du traité soutiennent que légaliser certains comportements peut réduire le nombre d’abus, mais les organisations de lutte contre la traite des êtres humains et le ministère américain de la Justice s’opposent à cette approche. Ces groupes soulignent qu’accéder à ce type de contenu virtuel pourrait en réalité augmenter l’exploitation sexuelle des enfants.

Une enquête récente a également montré que les entreprises technologiques ont parfois ignoré les risques liés aux conversations sexuelles entre mineurs et adultes, mettant ainsi davantage les jeunes en danger. Ces pratiques soulèvent de sérieuses préoccupations quant à la protection des mineurs dans l’espace numérique.

Ce traité a été critiqué pour ne pas aller assez loin dans la protection des enfants contre les abus sexuels numériques et pourrait avoir un impact négatif sur leur sécurité en ligne.

Un nouveau traité international adopté par l’ONU pour combattre les délits en ligne laisse une brèche importante concernant la pédopornographie numérique. Bien que le document criminalise le partage non consensuel d’images intimes, il néglige certaines formes de contenus sexualisés impliquant des mineurs créés par l’intelligence artificielle. Ce texte, qui doit être signé et ratifié par…