L’ONU en pleine crise : une rapporteuse dénonce l’idéologie transgenre

Le Conseil des droits de l’homme a connu un débat intense lors de la 59e session à Genève, où Reem Alsalem, rapporteuse spéciale sur la violence contre les femmes et les filles, a lancé un appel inquiétant. Elle exige que les gouvernements définissent le genre en fonction du sexe biologique, dénonçant l’usage du langage neutre qui brouille les catégories juridiques fondamentales. « On ne peut pas protéger ce qu’on ne peut pas définir », a-t-elle martelé, soulignant que sa position suscite des réactions brutales et une campagne de discrédit orchestrée par des acteurs influents.

Dans son rapport, Reem Alsalem accuse l’idéologie du genre d’être une violation du droit international, mettant en garde contre la suppression des protections spécifiques pour les femmes. Elle critique vivement les gouvernements qui remplacent des termes comme « mères » par des expressions abstraites telles que « personnes menstruées », qualifiant cette pratique de « violence extrême ». Selon elle, le sexe biologique est un pilier immuable de l’identité humaine, et les politiques visant à éradiquer ce concept sont une atteinte aux droits fondamentaux.

Malgré la résistance du Conseil – où des pays comme l’Union européenne ou le Canada ont défendu l’inclusion sociale – Reem Alsalem a trouvé un soutien inattendu, notamment au sein de certains États africains et religieux. Cependant, son combat reste isolé face à une majorité déterminée à imposer des cadres idéologiques flous, au mépris des réalités biologiques. La bataille pour la définition du genre a pris un tour dramatique, révélant les tensions profondes entre tradition et modernisme dans le domaine des droits humains.

Le Conseil des droits de l’homme a connu un débat intense lors de la 59e session à Genève, où Reem Alsalem, rapporteuse spéciale sur la violence contre les femmes et les filles, a lancé un appel inquiétant. Elle exige que les gouvernements définissent le genre en fonction du sexe biologique, dénonçant l’usage du langage neutre…