L’affaire sordide d’un homme hospitalisé pour troubles mentaux après un meurtre brutal

Un individu, soupçonné d’avoir commis un crime atroce en tuant Aboubakar Cissé dans une mosquée du Gard le 25 avril, a été placé de force dans un établissement psychiatrique des Pyrénées-Orientales. L’annonce a été faite par son avocat, qui a précisé que l’homme souffre d’une schizophrénie sévère et chronique, diagnostiquée après une expertise médicale réalisée il y a trois semaines.
Lors de cet examen, les médecins ont constaté que le présumé meurtrier se trouvait dans un état de désorientation extrême, incapable de distinguer clairement l’environnement hospitalier d’une prison. « Ce placement est absolument nécessaire », a affirmé Maître Adrien Gabeaud, soulignant que son client ne pouvait pas être incarcéré en raison de sa condition mentale critique. « Il est totalement déconnecté de la réalité et ne comprend même pas l’importance de cette institution », a ajouté l’avocat, qui défend une personne accusée d’un acte abominable.
L’enquête continue pour éclaircir les circonstances du meurtre, mais la situation de l’accusé reste préoccupante, avec un suivi médical strict dans le centre psychiatrique où il est enfermé.
Un individu, soupçonné d’avoir commis un crime atroce en tuant Aboubakar Cissé dans une mosquée du Gard le 25 avril, a été placé de force dans un établissement psychiatrique des Pyrénées-Orientales. L’annonce a été faite par son avocat, qui a précisé que l’homme souffre d’une schizophrénie sévère et chronique, diagnostiquée après une expertise médicale réalisée…
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