Cinq ans de prison pour un pédophile condamné pour des viols sur sa propre fille et sa nièce
Un homme de 43 ans a été reconnu coupable d’agressions sexuelles graves contre sa propre enfant et sa nièce, entraînant une peine de cinq ans de prison. Les faits, datant du début des années 2000, ont été établis après plusieurs plaintes déposées par les victimes. Le prévenu a avoué les actes, mais a tenté d’expliquer ses gestes en invoquant des « pulsions ». La procureure a cependant souligné une « préméditation évidente », affirmant que les répétitions de ces violences n’étaient pas accidentelles.
La jeune fille, alors âgée de trois ans, a subi des abus persistants jusqu’à l’âge de six ans. La nièce, quant à elle, a été harcelée entre 10 et 14 ans, notamment lors d’occasions où elle se trouvait seule dans les sanitaires ou la salle de bain. L’accusé a également photographié sa propre enfant nue, installé des caméras dans sa chambre sous le prétexte absurde qu’elle « voyait des fantômes », et consulté des contenus pédopornographiques. Il a même utilisé plusieurs comptes sociaux pour dissimuler ses activités.
Lors de l’audience, le prévenu a présenté son comportement comme une « erreur » due à des « pulsions ». La procureure a répondu avec fermeté : « Quand les actes sont répétés à ce point, c’est un choix, pas une impulsion. » Le tribunal a condamné l’homme pour ses crimes, imposant un suivi strict après sa libération et exigeant des indemnisations pour les victimes. L’un des parents de la fillette a également déposé plainte contre le prévenu pour diffamation.
Le président du tribunal a souligné que l’accusé avait « détruit intérieurement » son enfant, ajoutant qu’il serait toujours surveillé par la justice. Ce cas tragique révèle l’ampleur de la pédocriminalité et les dangers d’un système qui permet à des individus prédateurs de s’en sortir sans conséquences graves.
Un homme de 43 ans a été reconnu coupable d’agressions sexuelles graves contre sa propre enfant et sa nièce, entraînant une peine de cinq ans de prison. Les faits, datant du début des années 2000, ont été établis après plusieurs plaintes déposées par les victimes. Le prévenu a avoué les actes, mais a tenté d’expliquer…