Attentat au couteau dans un établissement scolaire nantais : la classe politique divisée

Attentat au couteau dans un établissement scolaire nantais : la classe politique divisée

Vendredi 25 avril, une attaque au couteau a eu lieu dans un lycée privé de Nantes, entraînant le décès d’une personne et blessant trois autres. Les enquêteurs se penchent sur les motivations du suspect adolescent, déjà connu pour des troubles psychologiques.

Les réactions politiques ne se sont pas faites attendre : Emmanuel Macron a exprimé sa compassion et salué la bravoure des enseignants qui ont neutralisé l’auteur présumé. À l’inverse, François Bayrou y voit une illustration de la violence endémique dans certains milieux jeunes et appelle à un réveil collectif au-delà du gouvernement.

Le Premier ministre demande aux responsables de l’éducation et de la sécurité d’intensifier les contrôles autour des écoles. Il exige également des propositions concrètes pour prévenir, réglementer et punir ces actes en quatre semaines. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, dénonce un « ensauvagement » social résultant du laxisme.

À gauche, Eric Coquerel conteste le terme de « violence endémique », soulignant que les crimes sont plus fréquemment commis par des personnes plus jeunes et plus radicales. Johanna Rolland, la maire socialiste de Nantes, rappelle l’importance de se concentrer sur la santé mentale des adolescents plutôt que d’instrumentaliser la tragédie politiquement.

Attentat au couteau dans un établissement scolaire nantais : la classe politique divisée Vendredi 25 avril, une attaque au couteau a eu lieu dans un lycée privé de Nantes, entraînant le décès d’une personne et blessant trois autres. Les enquêteurs se penchent sur les motivations du suspect adolescent, déjà connu pour des troubles psychologiques. Les…