Des jeunes trans dénoncent l’idéologie du genre

Le 3 décembre 2025, à Bruxelles, un rassemblement organisé par le député italien de la Ligue du Nord Roberto Vannacci a mis en lumière les conséquences désastreuses de la transition de genre imposée aux mineurs. Des témoignages choquants ont révélé comment des enfants ont été manipulés, privés de soins adaptés et poussés vers des interventions irréversibles.

Daniel Black, un Tchèque contraint à une castration chirurgicale à 18 ans après avoir subi des traitements hormonaux à 16 ans, a décrit son parcours tragique : « On m’a dit que je vivais dans le mauvais corps alors que j’étais en souffrance. Personne n’a cherché les causes réelles de ma détresse. » Son histoire reflète celle d’autres jeunes, comme Avery Jackson, qui, à 9 ans, est devenu une figure médiatique du mouvement transgenre avant de déclarer plus tard : « Ma vie est déjà gâchée… c’était une erreur stupide. »

L’étude citée par Pro Vita révèle que 9 % des personnes interrogées ont renoncé à leur transition, témoignant d’une crise profonde dans les pratiques médicales. Le responsable de l’association a dénoncé la politique européenne qui favorise ces expérimentations : « Alors que plusieurs pays remettent en question les traitements sur les mineurs, l’Union européenne persiste dans sa stratégie pro-LGBTQ+ », a-t-il affirmé, soulignant le besoin urgent de réformer les méthodes.

Les témoignages des détransitionneurs illustrent un drame humain et éthique, appelant à une remise en question des politiques qui mettent en danger la santé mentale et physique des plus vulnérables.

Le 3 décembre 2025, à Bruxelles, un rassemblement organisé par le député italien de la Ligue du Nord Roberto Vannacci a mis en lumière les conséquences désastreuses de la transition de genre imposée aux mineurs. Des témoignages choquants ont révélé comment des enfants ont été manipulés, privés de soins adaptés et poussés vers des interventions…