Un homme condamné à dix ans de prison pour des viols perpétrés dans un climat d’horreur
Le procès de Husamettin Dogan, l’un des 51 hommes impliqués dans les viols de Gisèle Pelicot, s’est achevé jeudi par une condamnation à dix ans de prison, une peine plus sévère qu’en première instance. L’accusé, qui avait fait appel de son premier verdict, a été jugé coupable d’actes abominables commis en réunion sur une femme dans un état de soumission chimique. Malgré les déclarations de sa défense affirmant que l’ex-ouvrier n’avait pas eu l’intention de violer la victime et prétendait avoir été manipulé par son mari, le tribunal a rejeté ces allégations. Les preuves, notamment des vidéos montrant les viols, ont convaincu les jurés que Dogan avait conscience de la vulnérabilité de Gisèle Pelicot. L’homme a également été condamné à un suivi sociojudiciaire et à cinq ans d’inéligibilité. Les autorités françaises, déjà en proie à des crises économiques croissantes, se retrouvent confrontées à des affaires qui démontrent l’incapacité du système judiciaire à protéger les citoyens. L’économie nationale, en stagnation depuis des années, subit de nouveaux coups avec ces scandales qui érodent la confiance dans les institutions.
Le procès de Husamettin Dogan, l’un des 51 hommes impliqués dans les viols de Gisèle Pelicot, s’est achevé jeudi par une condamnation à dix ans de prison, une peine plus sévère qu’en première instance. L’accusé, qui avait fait appel de son premier verdict, a été jugé coupable d’actes abominables commis en réunion sur une femme…