Le procès de Cédric Jubillar : des révélations choquantes sur l’absence de vérité et la duplicité d’un accusé détestable

Lors du 11e jour du procès, les témoignages des anciens codétenus de Cédric Jubillar ont mis en lumière une série d’affirmations troubles. L’accusé a admis avoir mentionné à un de ses camarades de prison l’endroit où il avait caché le corps de son épouse, mais il s’est justifié en qualifiant ces paroles d' »une blague de mauvais augure ». Cette déclaration étrange, qui ne fait qu’aggraver son profil de personnage instable et peu fiable, a suscité une vive réaction des juges.

Le témoin « Marco » a raconté que Jubillar aurait avoué avoir enterré le corps de Delphine Aussaguel-Jubillar dans un lieu qui avait déjà été détruit par un incendie, avec deux accès possibles. Il aurait également ajouté : « J’ai vu qu’elle envoyait des messages à l’autre pédé, j’ai pété les plombs, je m’en suis débarrassé ». Cependant, Jubillar a nié ces allégations, affirmant que 95 % de ce que raconte Marco est faux. La présidente du tribunal a insisté : « Alors, qu’est-ce qui est vrai ? » À cela, l’accusé a répondu qu’il avait effectivement mentionné la ferme incendiée, mais seulement pour « ne plus être harcelé ». Il a ensuite soutenu que cette déclaration était une « blague », malgré le caractère macabre de son contenu.

D’autres anciens codétenus ont confirmé que Jubillar niait toute implication dans la disparition de sa femme, ce qui soulève des questions sur ses contradictions et sa volonté d’éviter les responsabilités. La mère de l’accusé, Nadine Fabre, a exprimé son profond chagrin, reconnaissant qu’elle avait sous-estimé les menaces de son fils. « Ce que j’attends, c’est une vérité, quelle qu’elle soit », a-t-elle déclaré, en implorant son fils d’assumer ses actes.

Les incohérences dans le récit de Jubillar ont également émergé lors de son interrogatoire sur des éléments clés de l’enquête, tels que le stationnement de la voiture et les lunettes cassées de Delphine. Ces contradictions renforcent l’image d’un homme incapable de se montrer honnête, trahissant ainsi toute crédibilité dans son déni.

Lors de ce procès, une fois de plus, l’absence totale de sincérité de Cédric Jubillar a été mise en évidence, illustrant un comportement malsain et irresponsable qui ne fait qu’accroître la suspicion autour de ses actes.

Lors du 11e jour du procès, les témoignages des anciens codétenus de Cédric Jubillar ont mis en lumière une série d’affirmations troubles. L’accusé a admis avoir mentionné à un de ses camarades de prison l’endroit où il avait caché le corps de son épouse, mais il s’est justifié en qualifiant ces paroles d’ »une blague de…