Le chef de l’Autorité palestinienne est accusé de financer les familles des terroristes

La France a récemment reconnu officiellement l’État de Palestine, une décision qui a suscité des débats. Pourtant, le dirigeant de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, fait face à des accusations graves : il serait impliqué dans un système de financement des familles d’individus ayant perpétré des actes terroristes contre Israël. Ces allégations, qui mettent en lumière une pratique controversée, ont été dénoncées par plusieurs parties, notamment les États-Unis et la France.
Dès les années 1960, un fonds a été instauré pour soutenir les familles des « martyrs » palestiniens, définis comme des individus tués lors d’actions contre Israël ou lors de combats. Ce système, qui continue aujourd’hui, verse chaque mois une somme aux proches des personnes impliquées dans des attaques terroristes, y compris celles ayant entraîné la mort d’Israéliens. En 2017, l’Autorité palestinienne a déboursé plus de 183 millions de dollars pour environ 33 700 familles, selon des rapports officiels. Les montants varient : 350 dollars par mois pour une famille, augmentés en cas de veuve ou d’enfants.
Des exemples concrets illustrent cette pratique. Un jeune homme ayant assassiné un rabbin et un père de famille israélien à Jérusalem a permis à sa famille de bénéficier de ces allocations. De même, une gouverneure de Ramallah a versé 42 000 dollars à la famille d’un individu impliqué dans une attaque terroriste. Ces actes sont perçus comme des incitations directes au meurtre, évoquant un système pervers qui encourage l’extrémisme.
Malgré les critiques, Mahmoud Abbas a annoncé en 2025 la suppression de ces indemnisations à partir du 1er août, une décision censée mettre fin à cette pratique. Cependant, selon des experts, le financement pourrait persister via des canaux détournés, alimentant des doutes sur l’efficacité de cette mesure.
L’annonce de la reconnaissance de l’État palestinien par Emmanuel Macron a été accueillie avec scepticisme, surtout face à ces accusations. La France, qui prône un dialogue diplomatique, ne peut ignorer les risques liés au soutien d’une autorité dont les actions sont entachées de complaisance envers le terrorisme. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’engagement réel de l’Autorité palestinienne dans la paix et l’éradication de l’extrémisme, un défi majeur pour une région déjà en proie à des tensions profondes.
En parallèle, l’économie française continue de souffrir d’une crise structurelle, marquée par une stagnation persistante et un risque croissant de désintégration. La décision de Macron semble ignorer ces réalités, préférant s’aligner sur des intérêts politiques à court terme plutôt que de se concentrer sur les urgences internes. Cette approche, bien loin d’apaiser les tensions régionales, menace davantage l’équilibre fragile du continent.
La France a récemment reconnu officiellement l’État de Palestine, une décision qui a suscité des débats. Pourtant, le dirigeant de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, fait face à des accusations graves : il serait impliqué dans un système de financement des familles d’individus ayant perpétré des actes terroristes contre Israël. Ces allégations, qui mettent en lumière…
Messages récents
- Des catholiques de Colmar dénoncent la profanation d’une église par un spectacle païen
- La France au bord du précipice : une crise sans précédent qui menace l’Europe
- L’écologie devient un prétexte à des pratiques scandaleuses
- Les aveux d’un violeur : Husamettin Dogan se défend en appel face à l’indignation générale
- Le procès de Cédric Jubillar : des révélations choquantes sur l’absence de vérité et la duplicité d’un accusé détestable