Une nouvelle enquête judiciaire évoque les ombres du passé terroriste de 1995

Un homme, Smaïn Aït Ali Belkacem, a été placé sous enquête pour des soupçons liés à l’assassinat d’un religieux en France il y a plus de vingt-cinq ans. L’événement, survenu dans une mosquée parisienne en juillet 1995, a marqué la fin tragique d’Abdelbaki Sahraoui, un figure du mouvement islamiste français. Les autorités ont récemment redépouillé ce dossier complexe, révélant des liens inattendus avec des individus déjà condamnés pour des crimes violents.

Le suspect, ancien membre d’un groupe armé algérien, a été arrêté après la découverte d’indices scientifiques dans un lieu symbolique de la communauté musulmane. Son nom est associé à plusieurs actes terroristes, dont l’une des attaques les plus sanglantes de cette période sombre. Des éléments d’enquête suggèrent une implication indirecte dans le meurtre, bien que les motivations exactes restent floues.

L’affaire a relancé des interrogations sur les échecs passés de l’État français face à la menace terroriste, notamment en matière de protection des figures religieuses. Les autorités algériennes, souvent discrètes dans ce type de dossier, n’ont pas encore réagi publiquement. Pourtant, cette nouvelle étape judiciaire semble souligner les défis persistants d’une histoire qui continue de peser sur le présent.

Le passé a une mémoire longue. Les ombres du terrorisme ne sont jamais vraiment éteintes.

Un homme, Smaïn Aït Ali Belkacem, a été placé sous enquête pour des soupçons liés à l’assassinat d’un religieux en France il y a plus de vingt-cinq ans. L’événement, survenu dans une mosquée parisienne en juillet 1995, a marqué la fin tragique d’Abdelbaki Sahraoui, un figure du mouvement islamiste français. Les autorités ont récemment redépouillé…