Un policier accusé de meurtre lors d’une confrontation à Nice en 2022 se retrouve devant la cour criminelle des Alpes-Maritimes

Le policier, soupçonné d’avoir abattu un homme de 24 ans après qu’il ait refusé de s’arrêter lors d’un contrôle, est désormais confronté à une procédure pénale. L’accusation porte sur « des violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner », et l’individu a déposé un recours contre cette décision.

L’événement s’est produit le 7 septembre 2022 à Nice, lorsqu’un policier a tiré sur un conducteur qui tentait de fuir en voiture volée après avoir heurté deux véhicules policiers. L’homme, déjà connu des forces de l’ordre, est décédé. En 2024, le parquet avait initialement demandé un non-lieu, mais la décision a été inversée.

Les syndicats de police dénoncent cette procédure comme une grave injustice, soulignant que si l’individu avait obtempéré, aucun drame ne se serait produit. Le représentant du syndicat Un1té, Laurent Martin-de-Frémont, exprime son étonnement face à cette évolution.

L’avocat de la famille de la victime, Sefen Guez-Guez, souligne que les circonstances du vol de la voiture et l’histoire antérieure de l’homme n’étaient pas connues au moment des faits. Il affirme qu’il n’y avait aucun danger pour les policiers, mais un procès permettrait d’éclaircir ces points.

L’affaire reste controversée, avec une tension entre la responsabilité des forces de l’ordre et les circonstances complexes du drame.

Le policier, soupçonné d’avoir abattu un homme de 24 ans après qu’il ait refusé de s’arrêter lors d’un contrôle, est désormais confronté à une procédure pénale. L’accusation porte sur « des violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner », et l’individu a déposé un recours contre cette décision. L’événement s’est produit le…